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​La torture des Palestiniens dans les prisons sionistes est une « politique systématique » 

RAMALLAH – Le Club des prisonniers palestiniens a déclaré, samedi, que la torture dans les prisons sionistes était une « politique systématique » qui a atteint son apogée après le 7 octobre 2023, date du début de la sanglante guerre dans la bande de Ghaza.

C’est ce qui ressort d’un communiqué du Club prouvant en outre « l’existence de cas de torture et d’humiliation contre des prisonniers palestiniens à l’intérieur de la prison dite ‘Megiddo’ ».

Des médias ont rapporté auparavant que « des photos et des vidéos indiquent que des dizaines de détenus étaient menottés et allongés sur le ventre, certains sans vêtements, tandis qu’un chien de garde aboyait au-dessus de leurs têtes ».

Le Club a estimé que les vidéos constituent « une petite et simple partie de ce à quoi les prisonniers palestiniens sont exposés dans les prisons ».

Il a déclaré que la torture dans les prisons sioniste était une « politique systématique » qui a atteint son apogée après le 7 octobre 2023 (date du début de la guerre en cours dans la bande de Ghaza).

Il a ajouté que « la scène n’est plus surprenante à la lumière des crimes horribles et de la torture perpétrés par le régime d’occupation ».

Le Club a renouvelé sa demande que les Nations Unies « ouvrent une enquête internationale impartiale sur les crimes de torture et de meurtre commis contre les prisonniers palestiniens (dans les prisons sionistes) ».

Depuis le déclenchement de la guerre sioniste contre Ghaza le 7 octobre, les organisations palestiniennes et internationales de défense des droits de l’homme ont parlé de la détérioration des conditions dans les prisons sionistes.

Depuis le début de son agression à Ghaza le 7 octobre 2023, l’armée sioniste a arrêté des milliers de civils palestiniens, dont des femmes, des enfants et des agents de santé et de la défense civile.

L’entité sioniste mène une guerre dévastatrice contre Ghaza qui a fait plus de 135.000 martyrs et blessés, pour la plupart des enfants et des femmes, et plus de 10.000 disparus, au milieu de destructions massives et d’une famine meurtrière.

 

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