Algérie/Nouvelle-Zélande: les opportunités de coopération dans le domaine de la pêche examinées
ALGER – Les opportunités de coopération dans le secteur de la pêche ont été examinés, mercredi à Alger, regroupant les experts algériens et leurs homologues néo-zélandais, notamment en matière de formation, de recherche scientifique et d’échange d’expériences, a indiqué un communiqué du ministère de la Pêche et des Productions halieutiques.
Cette rencontre s’est tenue dans le cadre d’une séance de travail technique, au siège du ministère de la Pêche et des Productions halieutiques, sous la présidence de l’ambassadrice de la Nouvelle-Zélande à Alger, Amy Laurenson, précise le communiqué.
A cette occasion, les discussions entre les experts du ministère et leurs homologues néo-zélandais ont porté sur trois (3) principaux points, notamment la possibilité d’échanger des expériences dans le domaine de la formation en pêche et en aquaculture, et de bénéficier de l’expertise néo-zélandaise dans la promotion des activités des coopératives et l’organisation de la profession.
Il s’agit également du renforcement de la coopération dans le domaine de la recherche scientifique entre les centres et instituts de recherche néo-zélandais et le Centre national de recherche et de développement de la pêche et de l’aquaculture (CNRDPA), à travers des projets de recherche conjoints visant à développer des techniques de pêche durable et à préserver les écosystèmes marins, ajoute la même source.
Mme Laurenson a, par là même, félicité l’Algérie pour « son passage au premier niveau et l’obtention du Prix de la conformité et de la réactivité de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée (CGPM) relevant de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), en reconnaissance des progrès réalisés dans l’application des normes de pêche durable et la gestion rationnelle des ressources halieutiques ».
L’Algérie a remporté ce Prix à l’issue de la 47e session de la réunion annuelle de la CGPM, tenue à Rome du 4 au 8 novembre courant, avec la participation de 20 pays et de l’Union européenne (UE).